السبت، 6 أبريل 2013

Comment élaborer une étude de marché?


Comment élaborer une étude de marché?

1. Définition du marché : 
Avant d’entamer le vif du sujet une petite définition du marché s’impose : le marche dans son sens large c’est l’ensemble des clients capables et désireux de procéder à un échange leur permettant de satisfaire un besoin ou un désir. Au sens plus étroit il désigne l’ensemble des données chiffrées relatives à un produit ou un service, plus ou moins segmenté.
2. C’est quoi une étude de marché ? Pour la réussite de tout projet de création d’entreprise ou pour le lancement d’un nouveau produit, une étude de marché est nécessaire. Elle a pour objectif d’évaluer le potentiel du marché, de rechercher de l'information visant à acquérir une bonne connaissance de l'environnement, de la concurrence, de la clientèle et, de l'offre et de la demande, pour adopter un positionnement concurrentiel pertinent. 
Une bonne étude de marche doit répondre aux questions suivantes :
Que va-t-on vendre ? Il s’agit de bien définir le produit ou le service que l’on souhaite commercialiser, et s’assurer que celles-ci répondent bien aux besoins des clients. (Caractéristiques, usage, emballage, spécificité, etc.) 
A qui vendre ? La connaissance des clients par l’analyse de leur comportement et de leur besoins et attentes auxquels doit répondre le produit/service et l’identification de segments permettra d’estimer au mieux le pouvoir d'achat, de découvrir l'ampleur du marché et de définir le type d’analyse de terrain à conduire (quantitative/qualitative). 
Comment vendre ? 
Il est important de bien choisir le mode de distribution qui convient le mieux à votre produit et à son positionnement désiré sur le marché. Il faut également adapter ce mode de distribution aux habitudes des clients. (Vente au détail directe, vente en gros, vente en consignation, vente sur catalogue, après essai, après démonstration, à domicile, etc.)

Le commerce international


Le commerce international



Le commerce international


Dans son Global Economics Paper no 208 de décembre 2011, La Goldmann Sachs révise ces projections pour 2050 en classant les principaux pays :

Rang1980200020102050
1USAUSAUSAChine
2JaponJaponChineUSA
3AllemagneAllemagneJaponInde
4FranceUKAllemagneBrésil
5UKFranceFranceRussie
6ItalieChineUKJapon
7CanadaItalieBrésilMexique
8MexiqueCanadaItalieIndonésie
9EspagneMexiqueCanadaUK
10ArgentineBrésilIndeFrance
11ChineEspagneRussieAllemagne
12IndeCoréeEspagneNigeria
13Pays-BasIndeAustralieTurquie
14AustralieAustralieMexiqueEgypte
15Arabie SAPays-BasCoréeCanada
16BrésilArgentinePays-BasItalie
17SuèdeTurquieTurquiePakistan
18BelgiqueRussieIndonésieIran
19SuisseSuisseSuissePhilippines
20IndonésieSuèdePologneEspagne

Dans les divers dégradés de bleu, les pays du BRIC. Surprenant, le déclassement de l’Allemagne et
l’avènement de l’Égypte.
"Le monde change". Cette Lapalissade est illustrée dans le tableau ci-dessus qui montre l'évolution du commerce mondiale entre 1980 et 2050. En treize années la Chine est passée du onzième rang mondial au deuxième (aujourd'hui ses exportations ont dépassé celles de l'Allemagne). En 1995, les trois quart du commerce mondial était le fait de 16 nations. Aujourd'hui, elles sont 23 à se partager la même part du gâteau. Et demain ?
En 2001, la banque d'investissement Goldman Sachs prédisait dans les "Global Economics Papers" que l'économie de quatre pays émergeants allait rapidement se développer et que leur PIB total devrait égaler en 2040 celui du G6 (les États-Unis, le Japon, le Royaume-Uni, l'Allemagne, la France et l'Italie). Chacun de ces pays se situerait en 2050 au même niveau que les principales puissances économiques d'alors : les États-Unis, le Japon, l'Allemagne, etc.

l’étude de marché


Les domaines de l’étude de marché
Une étude de marché dite complète : l’étude de l’environnement, l’étude des consommateurs, l’étude de l’image de l’entreprise, l’étude de la concurrence, l’étude de la distribution.

1.     L’étude de l’environnement :
L’environnement de l’entreprise exerce une influence sur l’activité de l’entreprise et sur son développement. Sa connaissance doit permettre de déceler les opportunités à saisir et les menaces qui pèsent sur le marché.
L’étude de l’environnement peut être conduite dans différents domaines.

Technologique
L’étude de l’évolution des progrès techniques, des recherches en cour, des nouveaux matériaux, des nouvelles technologiques… conditionnement, toutes décisions de création de produit nouveau.
Politique
L’analyse de l’état de stabilité ou d’instabilité politique des risques de nationalisation, du degré d’intervention des pouvoirs publiques…est indispensable avant toutes décision d’exportation ou d’implantation dans un pays étranger.
Juridique
L’application des lois, décrets et règlement existant ou en projet conduit les entreprises à modifier les produits existants ou à innover, l’exemple de l’automobile est significatif : réglementation de la vitesse, augmentation croissante des taxes sur les produits pétrolier, mesure de protection de l’environnement, « prime balla dure » sans autant de facteurs qui ont conduit les constructeurs à développer les innovations aussi bien techniques que sociales
Socio-économique
L’évolution du pouvoir d’achat, du taux de chômage, de la structure de la population, de la composition de la famille et plus généralement du niveau de l’activité économique doit être prise en compte (et si possible anticipé) par l’entreprise afin de « coller » au réalité du marché et de ses diverses composantes.
Culturel
L’étude des traditions, des valeurs, des croyances des individus composant la société est indispensable pour toute entreprise qui envisage de créer de nouveaux produits (ou de nouveaux conditionnement), de modifier ou de créer de nouvelle forme de distribution, de lancer une compagne de communication.

La logistique


La   logistique


La logistique : de quoi parle-t-on ?







La logistique peut se définir comme l’art de gérer les flux au meilleur coût. Non seulement les flux de produits, mais aussi les flux d’information associés aux flux physiques, depuis le fournisseur initial jusqu’au client final. Elle permet l’adéquation entre une demande et une offre, ainsi qu’une meilleure rentabilité des investissements.


Une fonction logistique qui tend à s’industrialiser

Aujourd’hui, « la logistique est un secteur essentiel de l’activité économique et constitue une nouvelle forme de l’activité industrielle et de services »
Elle s’est imposée comme un élément de différenciation par le service (respect des délais, conformité des commandes, capacité à gérer les retours clients et le service après-vente…) et offre une gamme d’activités de plus en plus large. Elle est indissociable des systèmes de production et de consommation et très imbriquée avec toutes les fonctions de l’entreprise (fonctions commerciales, achats, recherche et développement, marketing …).

Trois types de tâches de la logistique

Quel que soit le secteur ou le contexte, la logistique comprend trois types d’opérations : 
  • opérations de planification : prévision des commandes, programmation des approvisionnements, ordonnancement des transports de livraison, gestion des flux … 
  • opérations administratives

LE CIRCUIT LOGISTIQUE


LE CIRCUIT LOGISTIQUE

Différence entre canal de distribution et circuit logistique

Vous savez ce qu’est un canal de distribution : c’est le chemin parcouru par un produit depuis son lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Entre les deux, le produit peut-être vendu à 0, un, ou deux intermédiaires.


Un canal se mesure par sa longueur, on en distingue 3 principaux :
            - Canal direct : pas d’intermédiaire entre le producteur et le consommateur.
            - Canal court : un seul intermédiaire entre producteur et consommateur.
            - Canal long : au moins deux intermédiaires entre le fabricant et le client final.

Définition des infrastructures  logistiques

l’entrepôt : C’est une unité de stockage qui reçoit la marchandise en provenance des usines.
le dépôt régional : C’est une unité de stockage, mais elle est située près des lieux de distribution pour réduire les délais de livraison et pouvoir dépanner les clients.
la plate-forme : Ici, la marchandise ne fait que passer, la plate-forme organise les tournées vers les détaillants.

Gestion de projets Estimation, coûts et rentabilité



L’estimation consiste à évaluer la durée et les coûts de l’achèvement d’un produit ou d’une prestation de services livrables ou à en donner une approximation
 
Importance de l’estimation
Prendre les décisions appropriées 
Planifier les tâches 
Déterminer la durée et les coûts du projet 
Déterminer si le projet vaut la peine d’être entrepris 
Déterminer les besoins de trésorerie 
Déterminer si l’exécution des travaux se déroule comme prévu 
Établir des budgets échelonnés et la performance de base du projet
 
 
Types de coûtsCoûts directs
  Imputables à un lot de travaux particulier 
Sorties de fond réelles 
Imputés à mesure que le projet progresse

 
Coûts spécifiques au projet
Indiquent les ressources de l’entreprise affectées à un projet particulier.
Il ne s’agit pas de charges décaissées immédiatement.
 
 
Frais généraux et frais administratifs
  
 
Les frais généraux et les frais administratifs sont des frais qui ne se rattachent à aucun projet particulier

GRH : L’analyse du travail


GRH : L’analyse du travail

L’analyse du travail comme méthode a comme finalités, entre autres, la sélection et l’orientation professionnelle. Comme dans toute utilisation de méthode, l’analyse du travail ne prend une signification que si elle s’inscrit dans le cadre d’un problème clairement pose avec une définition de l’objectif a atteindre. L’étude d’un problème passe par 7 phases successives :
  • la fixation de l’objectif,
  • la réunion d’une information cohérente avec retour permanent sur l’objectif,
  • l’organisation de cette information,
  • la transformation de l’information en solutions,
  • la décision,-l’action,
  • le contrôle.

la fixation de l’objectif de l’étude d’un travail

Quelle est la situation future qui est telle que, si nous pouvions la réaliser immédiatement, nous dirions que le problème a disparu?
L’objectif premier est la connaissance suffisamment exhaustive et pertinente de ce travail.
L’objectif second, celui de la personne qui pratique la sélection ou l’orientation, est que la personne sélectionnée ou orientée soit celle, parmi les candidats, qui corresponde le mieux à ce que l’on
attend du titulaire de ce poste.
Le troisième objectif est celui du demandeur (différents comportements qu’il peut adopter en tant que personne sélectionnée). Il éclaire les deux autres objectifs.
Cela nécessite une grande qualité de communication entre celui qui étudie le travail, le sélectionneur ou l’orienteur et le demandeur.

L’analyse du Travail : Quelques définitions


L’analyse du Travail : Quelques définitions

le travail

La tâche est ce qui est à faire, c’est-à-dire un objectif à atteindre dans des conditions données d’exécution. On peut y ajouter la définitions des compétences (savoirs, savoir-faire, savoir-être) supposées nécessaires.

L’activité est définie par ce qui se fait : pour répondre aux exigences de la tâche, l’homme met en œuvre des conduites qui constituent l’activité. On peut y ajouter l’examen des compétences effectivement mises en œuvre au cours de la réalisation.

les savoirs et savoir-faire

Les connaissances déclaratives constituent des assertions des objets et les êtres de notre environnement. Les connaissances procédurales concernent les actions ou opérations à exécuter pour
atteindre un but et, en particulier, les opérations à mettre en œuvre pour utiliser les connaissances déclaratives.
Un des aspects importants de l’apprentissage humain consiste à transformer des connaissances déclaratives en connaissances procédurales. Un aspect symétrique consiste à transformer des
connaissances procédurales en connaissances déclaratives. Il s’agit alors notamment de prendre conscience d’informations ou de règles qu’on utilise dans son action sans s’en rendre compte.
Il y a nécessité, pour rendre compte d’une performance, de la prise en compte non seulement des savoirs et savoir-faire mais également de leurs structures, de leur organisation ainsi que des stratégies et
des mécanismes susceptibles de les mettre en œuvre. Cette dimension de notre fonctionnement constitue la base de nos possibilités d’adaptation à des situations nouvelles, à condition que
la motivation soit suffisante.

L'adjectif démonstratif


L'adjectif démonstratif  


 CE - CET - CETTE CES


1.    À la fin de  cette  année, je change de programme.
2. Ce semestre (m) est particulièrement difficile.
3. ces étudiants étudient très fort.
4. cette idée semble intéressante.

5. Donnez-moi  ce programme.
6. Apportez ces documents le jour de l'examen.
7. ce  livre est utilisé dans mon cours de français.
8.  cet arbre est malade, il faut le couper.

9. Je ne recommande pas  ces restaurants.
10. cette voiture est très confortable.
11. Je veux acheter ce bureau et cet ordinateur.
12. cette imprimante (f) donne de très belles images en couleur.

13. ce tableau de Van Gogh est connu dans le monde entier.
14. Allez voir ce film, il est très comique.
15. Ne déplacez pas cette table et ces chaises.

EMPLOI DE Y et EN





§  à (au), en , dans, sous, sur, devant + un endroit
Vas-tu en Espagne ? – Oui, j’y vas.
Restez-vous à la maison ? – Oui, nous y restons.
Avez-vous laissé la voiture devant la maison ? – Oui, nous l’y avons laissée.
§  verbe à + chose (s’intéresser à, penser à, réfléchir à, s’habituer à, faire attention à)
Marie pense à son avenir. – Elle y pense souvent.
Les gens s’habituent vite au climat doux.- Ils s’ y habituent vite.
Il faut faire attention à ses fautes. – Il faut y faire attention.

EMPLOI DE EN

§  verbe de + chose
Je suis content de notre voyage. – J’en suis content.
Il est fier de sa maison. – Il en est fier.
M.Lefoque parle toujours de ses affaires. – Oui, il en parle tout le temps.
§  article partitif (du, de la, des) + chose
Il a du courage. – Il en a.
Cet homme a de l’argent. – Il n’en a pas.
§  article indéfini, quantité
As-tu une sœur ?- Oui, j’en ai une.
Combien de livres ont-ils achetés ? – Ils en ont acheté une douzaine.
A-t-elle beaucoup d’amies ? – Oui, elle en a beaucoup.
§  de + endroit
Marie revient de France. – Elle en revient.
Nous avons retiré l’argent de la banque. – Nous l’en avons retiré.

Homophones : "a" ou "à"



Homophones : "a" ou "à" 






Les homophones sont des mots qui ont le même son mais qui ont un sens et une orthographe différents.
Homophone vient du grec.
homo : même, phone : son    homophone : même son
a - à sont des homophones
est le verbe avoir conjugué à la troisième personne du présent et peut se remplacer par avait.
Il a une voiture rouge.
    Il avait une voiture rouge.
à est une préposition (petit mot introduisant un complément).
Je vais à la maisonJe demande du pain à la vendeuse.
 
Homonymes, homophones ? Comment s'y retrouver ?
On appelle homonymes des mots qui ont le même son mais un sens différent. 
Les homonymes peuvent avoir la même orthographe : dans ce cas ce sont des homonymes qui ne sont pas homophones OU une orthographe différente : dans ce cas ce sont des homonymes homophones. 
: Je tente d'acheter une tente    tente et tente sont des homonymesmais pas des homophones puisque le sens est différent mais l'orthographe est la même ! 
Mon père perd une paire de chaussures    père, perd, paire sont  deshomonymes homophones puisque le sens et l'orthographe sont différents.